Se reconnecter à une sagesse millénaire
La classification des plantes aromatiques est très ancienne et les techniques de distillation et de sublimation sont employées dès le IVe millénaire avant notre ère en Mésopotamie. Des textes akkadiens du XIIIe siècle avant Jésus-Christ décrivent la préparation de parfums par sublimation. Au premier siècle de notre ère, les Grecs en exposent les procédés dans des écrits. Au VIIIe siècle, les alchimistes du Moyen-Orient usent de la distillation afin de purifier certains produits chimiques utilisés dans l’artisanat : des huiles ou esters (pour les parfums) et de l’alcool. Au XIe siècle, Avicenne reprenant d’anciens manuscrits, invente l’entraînement à la vapeur pour extraire les huiles essentielles. Les distillats de plantes aromatiques apparaissent alors. Ce sont des eaux florales, puis des alcoolats, sans séparation des huiles essentielles. Ce n’est qu’au XVIe siècle qu’un Italien, Battista, perfectionne le principe de distillation permettant de recueillir des huiles essentielles pures, sans eau et sans alcool.
L’aromathérapie moderne
C’est mettre ses pas dans ceux de grands savants, médecins et scientifiques, comme le Docteur Valnet.
Les premières études médicales sur l’utilisation des huiles essentielles remontent à la fin du XVIIIe siècle, lorsqu’on a commencé à utiliser l’huile essentielle de menthe poivrée contre les maux de tête. Il ne s’agit donc pas d’une science aussi ancestrale que ce que l’on peut lire ici ou là. En outre, la capacité à démontrer leurs propriétés est liée à l’étude des microbes et des substances propres à les combattre, et donc à la possibilité de les observer à l’aide d’un microscope sophistiqué (fin du XIXe siècle). Ce furent alors les premières confrontations de cultures microbiennes avec des huiles essentielles (giroflier, lavande, romarin, par exemple). Elles ont permis d’identifier clairement l’action des huiles essentielles, point de départ de l’aromathérapie moderne.
Les trésors de la nature
C’est ouvrir les yeux sur le merveilleux trésor que la Nature met à notre disposition, tout autour de nous, décider d’y être attentif et de le protéger.
Il existe un lien et une connaissance mutuelle très forts entre les producteurs d’huiles essentielles et le laboratoire. Tous les producteurs partenaires ont fait l’objet de visites et de protocoles d’accords leur permettant de ne produire leurs huiles essentielles que dans des conditions optimales. Grâce aux partenariats mis en place avec les équipes Valnet, certaines cultures menacées d’extinction ont d’ailleurs pu subsister et se développer.
Prendre soin de soi et des siens
C’est aussi chercher à mieux comprendre le fonctionnement de son corps, de ses besoins élémentaires et de ses réactions.
C’est donc progresser dans la connaissance de soi. Bien sûr, il y a dans l’aromathérapie, ses modes d’administration, la poly-sensorialité des huiles essentielles, quelque chose de profondément humain, qui est le cœur-même de la philosophie du Docteur Jean Valnet et de son héritage. On est loin d’une mécanique désincarnée, d’une pilule qui se prend avec un verre d’eau. Utiliser les huiles essentielles, c’est se recentrer sur ses perceptions, prendre soin de soi et des siens par des gestes de tendresse, profondément humains, comme des massages ou des recettes.
Un mode de vie sain avec des huiles essentielles
C’est opter pour un mode de vie sain, naturel, durable, éco responsable, privilégiant la qualité, notamment celle des végétaux cultivés et consommés, plutôt que la quantité.
C’est aussi résoudre de manière simple et naturelle la plupart des tracas du quotidien, par des réponses ciblées, plutôt que de s’en remettre à des promesses publicitaires. C’est donc réfléchir avant de consommer.
Culturelle, intellectuelle, militante, sensuelle, écologique, sensible, on a tous une bonne raison de faire le choix des huiles essentielles.
Toutes les huiles essentielles Docteur Valanet sont 100% BIO et certifiées Label AB.
